Marie Lenormand
Marie Lenormand, comme prenant vie d’un tableau de Botero, brûle les planches.
Jérôme Pesqué, ODB-Opera.com
Photo: Fabrice Robin
Marie Lenormand, comme prenant vie d’un tableau de Botero, brûle les planches.
Jérôme Pesqué, ODB-Opera.com
Photo: Fabrice Robin
des Marcellinas, une Jacinthe, des Popottes, et un Orphée hybride.
Enchantée de reprendre Kinorama, notre programme autour du cinéma allemand des années 20-30, avec mes Frivolités Parisiennes chéries, le 28 août au festival “Chambre et Jardin” à Dampierre-sur-Boutonne ,et le 4 septembre au festival “Musique au Bois” à Creuse.
““Une superbe comédienne, toute en énergie et en sensibilité”
” Créé en 1837 à l’Opéra-Comique, Le Domino noir en était déjà à sa 1200e représentation en 1909.
Mais après, plus rien ou presque, comme si le XXe siècle avait perdu le goût de ces ouvrages délicats
mariant sur un pied d’égalité musique et dialogues parlés.
Il est vrai que ceux-ci sont souvent un écueil, l’art de la comédie coulant rarement de source dans les gosiers des chanteurs lyriques.
Une exception, ce soir : Marie Lenormand casse la baraque sous le tablier de Jacinthe, la gouvernante de Juliano, qui occupe tout l’acte II de son impressionnant volume.””